Expositions
Résonances, exposition collective de résidence de création.
À Gordes, les pierres ne s’additionnent pas : elles s’empilent, se répondent, se taisent ou s’ouvrent, selon la lumière. L’architecture semble émerger du sol, prise dans la roche elle-même. Ce paysage construit, profondément minéral, m’a imposé une autre manière de regarder…
"Romance in the Stone : de la roche à l’oeuvre", exposition collective.
L’exposition "Romance in the Stone : de la roche à l’oeuvre", réunie les artistes lauréats de la Bourse Matière(s) du Fonds de dotation Verrecchia dont le travail entre en résonnance directe avec la collection de minéraux du musée (couleurs, formes, matérialité). À travers leurs langages singuliers, les potentialités créatives et narrative de cette matière brute et complexe se révèlent autant que sa puissance narrative et émotionnelle.
"Métamorphique", une exposition collective au Ateliers de Paris, Paris. 2024.
L’exposition Métamorphique réunit un ensemble éclectique de huit designers, artisans et artistes. Dans une scénographie croisée, ils présentent leurs appropriations de la Pierre. Un travail qui s’affranchit des codes de la taille traditionnelle, issu de recherches et d’expérimentations développées dans leurs domaines respectifs tels que l’ébénisterie, la photographie, le tissage, l’encrage ou encore l’hybridation de matériaux dissemblants.
De l'ouvrage d'art à l'œuvre d'art, une exposition en duo avec l'architecte Ophélie Dozat.
«Ici, le mur est dialectique ; il retranscrit une dualité toujours plus forte entre l’espace fictif et la réalité d’un lieu»
Ici, les murs ne sont plus, ce sont des débris. La pierre devient un support pour capturer ce qu’elle représente, une mise en abîme. Le mur s’élevant du sol vers le ciel, touche ici le soleil, révélateur de l’image grace au principe du cyanotype. L’image devient un paysage abstrait représenté sur des décombres, les frontières tracées par les murs sont brouillées, impalpables.
"Pierre : matière(s) sensible", une exposition collective de restitution de résidence.
Présentation de la série "Pourtant, la nuit n'est pas encore tombée…".
Dans ses recherches, Alexandre Onimus explore la plasticité du cyanotype. Ce principe de tirage évoque pour lui un mélange subtil entre la poésie de l’estampe et l’onirisme des fresques antiques sur pierre. En personnalisant le processus de tirage, Alexandre opère sur ses images, les transformant et les poussant à adopter de nouvelles formes, voire à s’estomper.
Voir les œuvres / voir les commandes
©alexandreonimus
Résonances, exposition collective de résidence de création.
À Gordes, les pierres ne s’additionnent pas : elles s’empilent, se répondent, se taisent ou s’ouvrent, selon la lumière. L’architecture semble émerger du sol, prise dans la roche elle-même. Ce paysage construit, profondément minéral, m’a imposé une autre manière de regarder…
"Romance in the Stone : de la roche à l’oeuvre", exposition collective.
L’exposition "Romance in the Stone : de la roche à l’oeuvre", réunie les artistes lauréats de la Bourse Matière(s) du Fonds de dotation Verrecchia dont le travail entre en résonnance directe avec la collection de minéraux du musée (couleurs, formes, matérialité). À travers leurs langages singuliers, les potentialités créatives et narrative de cette matière brute et complexe se révèlent autant que sa puissance narrative et émotionnelle.
"Métamorphique", une exposition collective au Ateliers de Paris, Paris. 2024.
L’exposition Métamorphique réunit un ensemble éclectique de huit designers, artisans et artistes. Dans une scénographie croisée, ils présentent leurs appropriations de la Pierre. Un travail qui s’affranchit des codes de la taille traditionnelle, issu de recherches et d’expérimentations développées dans leurs domaines respectifs tels que l’ébénisterie, la photographie, le tissage, l’encrage ou encore l’hybridation de matériaux dissemblants.
De l'ouvrage d'art à l'œuvre d'art, une exposition en duo avec l'architecte Ophélie Dozat.
«Ici, le mur est dialectique ; il retranscrit une dualité toujours plus forte entre l’espace fictif et la réalité d’un lieu»
Ici, les murs ne sont plus, ce sont des débris. La pierre devient un support pour capturer ce qu’elle représente, une mise en abîme. Le mur s’élevant du sol vers le ciel, touche ici le soleil, révélateur de l’image grace au principe du cyanotype. L’image devient un paysage abstrait représenté sur des décombres, les frontières tracées par les murs sont brouillées, impalpables.
"Pierre : matière(s) sensible", une exposition collective de restitution de résidence.
Présentation de la série "Pourtant, la nuit n'est pas encore tombée…".
Dans ses recherches, Alexandre Onimus explore la plasticité du cyanotype. Ce principe de tirage évoque pour lui un mélange subtil entre la poésie de l’estampe et l’onirisme des fresques antiques sur pierre. En personnalisant le processus de tirage, Alexandre opère sur ses images, les transformant et les poussant à adopter de nouvelles formes, voire à s’estomper.
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©alexandreonimus